Le fonds Jacques Grangé a été classé selon une logique chrono-thématique qui suit son parcours professionnel et militant, tout en respectant autant que possible le classement initial du producteur et la structuration originelle des dossiers.
L’inventaire comprend huit parties.
La première partie (1-JG) concerne la formation universitaire de Jacques Grangé et ses premiers pas dans le militantisme, de la fin des années 60 au milieu des années 70.
La seconde partie (2-JG) est consacrée à ses...
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Le fonds Jacques Grangé a été classé selon une logique chrono-thématique qui suit son parcours professionnel et militant, tout en respectant autant que possible le classement initial du producteur et la structuration originelle des dossiers.
L’inventaire comprend huit parties.
La première partie (1-JG) concerne la formation universitaire de Jacques Grangé et ses premiers pas dans le militantisme, de la fin des années 60 au milieu des années 70.
La seconde partie (2-JG) est consacrée à ses activités au sein de différentes instances nationales du PCF des années 1970 au milieu des années 1980. Elle témoigne de la contribution de Jacques Grangé aux travaux de la Section économique du Comité central et des groupes de travail qui furent successivement chargés d’instruire les questions régionales (Groupe Régions, puis Section Région en 1980 et Secteur Régions à partir de 1984). Cette partie contient également un ensemble de dossiers constitués par Jacques Grangé alors qu'il était assistant du député européen Félix Damette et dédiés à l’instruction de questions spécifiques telles que la politique forestière et l’industrie du bois, l’aménagement de la Loire et de ses affluents, les activités maritimes ou la Corse.
La troisième partie (3-JG) se rapporte à l’engagement de Jacques Grangé auprès de la Confédération générale du travail (CGT) à la fin des années 70.
La quatrième partie (Paris1 CHS JG 4-JG) est dédiée à ses activités, dans les années 80, au sein de la section locale du PCF de Noisy-Gournay, d’abord en qualité de secrétaire de la section puis à la cellule Gabriel Péri.
La cinquième partie (Paris1 CHS JG 5-JG) documente quant à elle l’essor du Mouvement des Reconstructeurs au tournant des années 80-90, au travers de l’activité de plusieurs organismes où Jacques Grangé a évolué : Association de recherche et d'initiatives pour l'autogestion et le socialisme (ARIAS), Mouvement des Elus Progressistes (MEP), Alternative démocratie socialisme (ADS).
La sixième partie (Paris1 CHS JG 6-JG) a trait à différentes expertises réalisées dans les années 90 par Jacques Grangé à la demande d’Alphonse Tamburini et documente diverses questions corses.
La septième partie (Paris1 CHS JG 7-JG) traite de la préparation des élections municipales de Noisy-le-Grand de 1995 avec la liste divers gauche « Réunir pour innover ».
Enfin, la huitième et dernière partie (8-JG) est composée d’une documentation rassemblée à la fin des années 1980 par Jacques Grangé sur des thématiques variées.
